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Anatoly, toujours roi des pranks muscu

Après toutes ces années, le phénomène Anatoly ne faiblit pas. Sur YouTube comme sur les réseaux sociaux, le powerlifter ukrainien continue d’exploser les compteurs avec ses caméras cachées en salle de sport. Sa dernière vidéo, “I Got EXPOSED… Anatoly Gym Prank GONE WRONG… | Pretended to be a Cleaner #54”, a dépassé les 2 millions de vues en moins de 24 heures, preuve que la hype autour du “fake cleaner” est toujours bien vivante.

Dans cet épisode, Anatoly reprend son rôle culte d’agent d’entretien de salle de sport, serpillière de 32 kg à la main. Pour rappel, cette serpillière lestée est devenue sa marque de fabrique : un accessoire de ménage qui pèse aussi lourd qu’un kettlebell sérieux, parfait pour choquer les bodybuilders persuadés d’avoir tout vu. Les réactions oscillent entre incompréhension totale, fou rire nerveux et remise en question brutale de leur ego de gym bro.

Un powerlifter déguisé en simple “cleaner”

Derrière le personnage maladroit, perruque et bleu de travail, se cache Vladimir Shmondenko, powerlifter de haut niveau. Le powerlifting, c’est cette discipline de force qui repose sur trois mouvements principaux : squat, développé couché et soulevé de terre, avec pour objectif de soulever le plus lourd possible en une répétition. Anatoly maîtrise ces trois lifts à un niveau élite, ce qui lui permet de transformer chaque séance en démonstration de force brute… sous couvert de simple nettoyage de salle.

Dans la vidéo, tout commence comme un prank classique : un “cleaner” un peu étrange, qui pose trop de questions sur les grimaces des pratiquants sous la barre. Il fait mine de ne pas comprendre pourquoi les bodybuilders tirent la langue, serrent les dents et contractent tout le visage pour un développé couché qu’il présente comme “pas si lourd que ça”. Puis vient le moment où il demande à “tester” la barre, juste pour voir.

Quand les bodybuilders commencent à douter

Une fois la barre entre les mains, Anatoly la soulève avec une facilité déconcertante. Sans forcer, sans grimace, tout en parlant et en plaisantant. Face à lui, les physiques bodybuildés se figent : est-ce que les poids sont vrais ? Est-ce un montage ? Est-ce qu’ils se sont fait piéger par un cleaner plus fort qu’eux ? Le doute s’installe et la paranoïa monte, surtout lorsqu’il enchaîne les reps propres et explosives.

Les athlètes présents décident alors de prendre les choses en main. Ils rajoutent des disques sur la barre pour “tester” ce mystérieux agent d’entretien. Ce moment est typique des vidéos d’Anatoly : les bodybuilders, persuadés d’avoir affaire à un imposteur, se transforment en juges de force. Sauf qu’ici, c’est eux qui vont se retrouver jugés… par la gravité et par la technique irréprochable d’un powerlifter de compétition.

Le prank qui tourne… contre le prankster

Ce 54ᵉ épisode se distingue des épisodes précédents par un twist : cette fois, Anatoly se fait “exposer”. Wig arrachée, vêtements ouverts, micro repéré… les pratiquants comprennent qu’ils sont filmés et que le “cleaner” n’a rien d’un débutant. La caméra cachée devient alors quasi documentaire : on passe du canular à un vrai test de force, où tout le monde veut vérifier si Anatoly est aussi fort que ses vidéos virales le laissent penser.

Loin de fuir, il accepte le challenge. Les disques continuent de s’empiler sur la barre, les barres de soulevé de terre se chargent, et chaque tentative devient une démonstration de ce que l’entraînement de force orienté performance peut produire. Là où beaucoup s’entraînent pour l’esthétique, la fameuse “shape” de bodybuilding, Anatoly rappelle qu’une base de force solide reste le meilleur filtre anti-fake.

La légende de la serpillière de 32 kg

Au cœur de la vidéo, un objet continue de voler la vedette : la célèbre serpillière de 32 kg. Ce mop lesté n’est pas qu’un running gag, c’est presque un outil de branding. Il illustre une idée simple : la force se construit partout, pas seulement avec des machines chromées. Anatoly aime rappeler qu’il a commencé dans son village avec des pièces de tracteur, des roues de voiture et des briques pour fabriquer son home gym de fortune.

Ce message touche particulièrement la communauté bodybuilding et musculation “hardcore”, qui valorise la débrouille, l’ingéniosité et l’entraînement old school. Voir un “simple cleaner” manier une serpillière plus lourde que la plupart des curl bars de la salle est à la fois comique et inspirant. Pour beaucoup de pratiquants, c’est un rappel que la surcharge progressive, augmenter le poids ou la difficulté au fil du temps, ne nécessite pas forcément un équipement luxueux, mais surtout de la créativité et de la constance.

De la caméra cachée à la motivation muscu

Comme souvent, la vidéo ne se résume pas à un simple prank. Entre deux blagues, Anatoly glisse un vrai message de motivation. Il rappelle qu’il a construit sa carrière de powerlifter puis de créateur de contenu en restant fidèle à une simple routine : quelques exercices de base ultra efficaces, une planification intelligente (la fameuse “périodisation”, c’est-à-dire l’organisation des cycles d’entraînement pour progresser sans se cramer) et zéro excuse.

Il met également en avant ses programmes “Anatoly Power System”, présentés comme des plans sur mesure pour tous les niveaux, du débutant au confirmé, à la maison comme en salle. Que l’on soit orienté hypertrophie (prise de masse musculaire), force ou recomposition corporelle, le message est clair : la méthode fonctionne si l’athlète est prêt à travailler dur… même s’il n’a qu’un sol à nettoyer et une serpillière “un peu” chargée pour s’entraîner.

Une communauté toujours plus massive

Avec plus de 9 millions d’abonnés sur YouTube et une présence XXL sur TikTok et Instagram, Anatoly a transformé un concept simple, un powerlifter qui joue les cleaners, en véritable phénomène de culture fitness. Chaque nouvel épisode dépasse facilement le million de vues, et le format “gym prank + lifts impossibles + message motivationnel” est devenu une valeur sûre du feed Discover pour tous les fans de musculation.

Sa force, c’est de parler le langage des gym bros tout en restant accessible. Il mélange humour, performance pure, storytelling inspirant et un côté “gars normal” qui ne se prend pas trop au sérieux. Résultat : qu’on soit bodybuilder compétiteur, pratiquant de powerbuilding (mélange de force et d’esthétique) ou simple débutant, on se retrouve dans ses vidéos.

Anatoly, un phénomène qui ne s’essouffle pas

Avec ce nouveau prank “I Got EXPOSED… Gym Prank GONE WRONG”, Anatoly prouve que le format n’est pas prêt de s’essouffler. La recette fonctionne toujours : un décor de salle de sport, un personnage sous-estimé, des poids bien réels, et un retournement de situation où les “gros bras” découvrent qu’il y a toujours plus fort que soi.

Après toutes ces années, Anatoly reste une figure à part dans le paysage musculation et fitness : à la fois athlète de haut niveau, showman, créateur de contenus viraux et vrai moteur de motivation pour une génération de pratiquants. Une chose est sûre : tant qu’il y aura des barres à charger, des egos à challenger et une serpillière de 32 kg à traîner dans les gyms du monde entier, le phénomène Anatoly est loin d’être terminé.

Avec plus de 2 millions de vues en moins de 24 heures, ce 54ᵉ épisode confirme qu’Anatoly n’est plus seulement un “prankster”, mais une véritable icône de la culture musculation. Entre humour, force brute et message de discipline, chaque vidéo rappelle la base : peu importe ton niveau ou ton physique actuel, ce qui compte, c’est ta capacité à te dépasser. Et visiblement, sur YouTube comme sous la barre, Anatoly n’a pas fini de montrer l’exemple.

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